วันเสาร์ที่ 27 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2553


Histoire Yaour

Les écrits les plus anciens relatifs aux yaourts sont attribués à Pline l'Ancien, celui-ci ayant remarqué que certaines tribus « barbares » savaient « épaissir le lait en une matière d’une agréable acidité ». On considère aujourd’hui la Bulgarie qui était jusqu’en 1878 sous la domination ottomane comme le pays inventeur du yaourt. Néanmoins certains estiment que le yaourt provient d’une région du Moyen-Orient qui est aujourd’hui l’Iran ou le Kurdistan. Les techniques traditionnelles encore utilisées dans cette région consistent à fermenter le lait par un va-et-vient de ce dernier dans un « sac » de peau de mouton voire de chèvre. Il existe des preuves de l’existence de produits laitiers fermentés dans un but alimentaire depuis au moins le IIIe millénaire av. J.-C.. Les premiers yaourts résultent probablement d’une fermentation spontanée, peut-être au contact des bactéries sauvages résidant à l’intérieur des sacs de peau de chèvre utilisés pour le transport du lait.
On le rencontre pour la première fois dans les deux ouvrages:
Divan-ı Lugat-ı Türk qui a été écrit par Kaskarli Mahmut et Kutadgu Bilig qui a été ecrit par Balas Gumlu Yusuf Has Hacip. Le mot "yogourt" est en langue turque pure. On admet que la première production a été faite par les Turcs d'Asie centrale.
Le yaourt fait sa première apparition en
France grâce à François Ier qui, souffrant de problèmes digestifs, fait appel au sultan de Turquie. Celui-ci lui envoie d’Istanbul un médecin qui le guérit en le soumettant à une cure de lait de brebis fermenté[2].
À la fin du
XIXe siècle, le bactériologiste russe Élie Metchnikoff, prix Nobel de physiologie ou médecine en 1908, s’interroge sur le lien attribuant au yaourt la longévité des montagnards du Caucase et des Balkans. Il découvrit les effets positifs du yaourt sur les désordres intestinaux des nourrissons[3].

วันจันทร์ที่ 22 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2553


Rideau

Un rideau est une pièce de tissu dont le but est de diminuer la présence d'une ouverture. Il peut arrêter le froid ou atténuer la lumière. Les rideaux sont souvent pendus à l'intérieur de la fenêtre ou de la porte d'un bâtiment pour bloquer le passage de la lumière, par exemple pendant la nuit pour faciliter le sommeil, ou pour empêcher les autres de voir dedans, souvent pour des raisons d'intimité.
De nombreux tissus, formes, tailles, et couleurs de rideaux existent, et ils ont souvent leur propre rayon dans les
grands magasins, avec quelques magasins qui ne vendent que les rideaux. Dans les régions plus chaudes, on utilise parfois les obturateurs en bois au lieu de rideaux, la meilleure isolation du bois permettant de conserver les pièces au frais.
Les rideaux fournissent aussi une séparation visuelle dans des situations comme l'
art performance, dans lequel les acteurs font leurs préparations finales pour le spectacle derrière le rideau pendant que les spectateurs attendent devant. D'habitude, le rideau s'ouvre quand le spectacle commence et ferme pendant les pauses ou la fin de la performance.
Il peut également servir de séparation entre deux pièces en aménagement intérieur, ou cacher des objets inesthétiques (compteur électrique, porte, etc.). Le rideau de douche, souvent fait de
plastique ou de vinyle, empêche l'eau de se répandre dans la salle de bain et préserve l'intimité.

วันเสาร์ที่ 30 มกราคม พ.ศ. 2553


Nouvel An chinois

Le Nouvel An chinois ou Nouvel An du calendrier chinois (sinogrammes traditionnels : 農曆新年 ; sinogrammes simplifiés : 农历新年 ; hanyu pinyin : nónglì xīnnián) ou « passage de l’année » (traditionnels : 過年 ; simplifiés : 过年 ; pinyin : guònián) est le premier jour du premier mois du calendrier chinois. C'est le début de la fête du printemps (traditionnels : 春節 ; simplifiés : 春节 ; pinyin : chūnjié) qui se déroule sur quinze jours et s’achève avec la fête des lanternes (traditionnels : 元宵節 ; simplifiés : 元宵节 ; pinyin : yuánxiāojié).
Le calendrier chinois étant un
calendrier luni-solaire, la date du Nouvel An chinois dans le calendrier grégorien varie d'une année sur l'autre, mais tombe toujours entre le 21 janvier et le 20 février. C’est, comme tous les commencements de mois lunaires chinois, le premier jour d'une nouvelle Lune. Par convention, l'alignement astronomique qui signale la nouvelle Lune est déterminé à l’observatoire de la Montagne Pourpre à Nankin.

วันอาทิตย์ที่ 3 มกราคม พ.ศ. 2553


Culture

La culture de la Thaïlande est profondément imprégnée par le bouddhisme theravâda, religion officielle et pratiquée par presque toute la population (4 % de musulmans et moins de 1 % de chrétiens). Une grande part des arts — peinture, sculpture, architecture, danse et musique — subit cette influence et est au service des représentations traditionnelles du bouddhisme et de ses dérivés. Conformément aux enseignements de Bouddha, les moines pratiquent l’ascétisme. Tous les matins, ils vont chercher leur nourriture auprès des habitants et des commerçants vers 6 h du matin (même dans la capitale mégapole, Bangkok - Krung Thep en thaï).
On observe aussi une grande pérennité des croyances
animistes. Elles se manifestent dans la croyance aux amulettes magiques et dans le culte domestique rendu aux « esprits du lieu » (chao thi), auxquels sont consacrées les maisons des esprits, petits édicules présents devant les habitations ou magasins (quand cela est possible) et que les Thaïs remercient ou prient tous les jours s’ils le peuvent par des offrandes (des colliers de fleurs et de la nourriture).
En Thaïlande, on parle « des cultures » plutôt que de « la culture », à savoir : culture bouddhique, culture profane traditionnelle et culture musulmane. Les musulmans vivent dans le sud du pays, sur la péninsule, près de la frontière avec la
Malaisie, dans les trois provinces de Pattani, Yala et Narathiwat.
À l’origine, les Thaïs seraient venus de Chine du sud (province du
Yunnan) à partir du XIe siècle[6]. Toutefois, la langue thaïe n’a pas de parenté avec le chinois. Elle appartient au groupe tai de la branche dite kam-tai de la famille des langues taïes-kadaïes.
La culture bouddhique et traditionnelle englobe la Thaïlande entière, et comprend en gros deux types de cultures : la culture laotienne dans les provinces du Nord-est et du Nord (appelé jadis « Lanna-Lao », puis « Lanna-Thai »), et la culture thaïlandaise proprement dite (dite siamoise). Mais les lao et les siamois sont de même famille. Lorsque le pouvoir s’installe à Bangkok en 1782, après la destruction d’Ayuthaya par les Birmans en 1767, les dirigeants siamois font appel aux artistes et artisans lao pour construire la ville elle-même. La pagode du Bouddha d’Émeraude « Wat Prakao » (à prononcer « ouat prakéo ») à Bangkok fut érigée par eux, emmenés de force par les siamois, après la mise à sac de Vientiane (capitale du Royaume Lao de Vientiane Lanxang) vers 1778 par l’armée siamoise.
Le Nord-Est, région que l’on appelle
Isan, est habité par des populations proches des Lao, que l’on appelle « Thai Isan ». Ils ont une culture distincte (très fortement influencée maintenant par la télévision thaïlandaise), car ce territoire faisait partie intégrante du royaume lao de Lanxang, avant l’arrivée des français en 1893. Annexé définitivement par le Siam dans les années 1900, après le Traité franco-siamois du 3 octobre 1893, ce territoire prit le nom d’Isane (« Nord-est ») vers 1907-1910. Depuis lors, les lao du Nord-Est ou les « lao isane » perdent leur identité ethnique, actuellement sous le nom « thai isane » (la nourriture issan est très spécifique à la région et désormais recherchée et reconnue dans toute la Thaïlande), parlant toujours lao et ont du mal à sauvegarder leur culture. Dans les années 1930, les lao du Nord-Est étaient opprimés par le pouvoir en place (sous P. Pribun-Sangkhrama) : ils n’avaient pas le droit de parler lao, de chiquer du bétel, de porter des jupes lao pour les femmes, etc. Le Royaume Lao de Lan-xang fut dominé par le Siam avant l’arrivée des Français.

วันอาทิตย์ที่ 27 ธันวาคม พ.ศ. 2552


Différence entre les calendriers

Bien que les Jours de l'an tombent rarement à la même date d'un calendrier à l'autre, on remarque une relative concordance entre ceux des pays tempérés. En effet, ce qui fut interprété comme la « disparition » de la végétation durant l'hiver et sa renaissance au printemps a alimenté le mythe très répandu de la renaissance cyclique de l'année. C'est ainsi qu'un grand nombre de Jours de l'an sont fêtés entre le solstice d'hiver et l'équinoxe de printemps.
Cependant, ceci n'est nullement universel, notamment dans les pays tropicaux, où le cycle des saisons est bien moins tangible.
On peut citer en exemple l'
Égypte antique, qui (bien qu'elle utilisait un calendrier civil solaire) fêtait la nouvelle année à l'arrivée annuelle de la crue du Nil. Cette crue étant due aux pluies ayant lieu loin en amont (dans les hauts plateaux), sa date était entièrement tributaire de phénomènes météorologiques. Cependant, elle intervenait généralement à la même période.
Différents calendriers avec la correspondance des dates de leur Nouvel An
[1] dans le calendrier grégorien

Célébration


Sa célébration à la date du 25 décembre, se situe dans le calendrier julien pour les Églises orthodoxes, et dans le grégorien pour l'église catholique et protestante ; le jour de la saint Emmanuel, a été fixée tardivement dans l'empire romain d'Occident, vers le milieu du IVe siècle. Avant de la placer à la date d'une célébration solaire liée au solstice d'hiver[1], plusieurs dates furent proposées : 18 novembre, 6 janvier... Le 25 décembre marquait depuis Aurélien (v.270) l'anniversaire du Sol Invictus et de la renaissance annuelle de Mithra[2]. Pour des raisons symboliques, et dans un souci de christianiser les anciennes fêtes païennes, cette date fut progressivement étendue à tout l'Occident latin. Les Églises orthodoxes, qui ont conservé le calendrier julien, célèbrent Noël le 25 décembre de ce calendrier, ce qui correspond au 6 janvier du calendrier grégorien. Seule l'Église apostolique arménienne a conservé la date précise du 6 janvier comme jour de la fête de Noël[3].
Constituant avec
Pâques une des grandes fêtes chrétiennes, Noël s'est progressivement chargé de traditions locales, mélanges d'innovations et de maintien de folklore ancien, au point de présenter l'aspect d'une fête profane populaire possédant de nombreuses variantes, dans le temps comme dans l'espace. L'association de la mémoire d'une naissance a facilité la place centrale prise par la famille dans le sens et le déroulement de cette fête. L'Église catholique romaine insiste par exemple sur cet aspect depuis l'instauration en 1893 de la fête de la Sainte Famille, le dimanche suivant le 25 décembre. Les cadeaux, sous forme d'étrennes, semblent être une réminiscence des cadeaux effectués lors des fêtes saturnales de décembre (strenae)[4].
Le don est présent dans de nombreuses traditions, comme celle de servir un repas au premier pauvre croisé au jour de Noël, ou dans l'exceptionnelle générosité des aumônes accordées aux mendiants à la sortie de l'office célébré durant la nuit de Noël. « La période de Noël, qui est très chargée cérémoniellement, possède une certaine intensité rituelle. Même si nous vivons fondamentalement dans une société marchande, il y a dans cet échange de cadeaux quelque chose qui est de l'ordre du don et qui est universel dans son principe: ils créent, maintiennent et consolident des liens ; ils constituent en quelque sorte une matrice du social
[5].

วันพฤหัสบดีที่ 3 ธันวาคม พ.ศ. 2552

Fête des Pères


Dans les pays catholiques, on a célébré les pères de famille dès le moyen-âge le 19 mars, jour de la Saint-Joseph, ce dernier étant le père putatif de Jésus. En revanche, il était beaucoup plus difficile de célébrer religieusement les mères, les fêtes dédiées à la celle de Jésus étant aussi des célébrations de la virginité. L'une des premières fêtes des pères non religieuses fut créée en 1912 aux États-Unis. En France, elle fut fixée par un décret de 1952 au troisième dimanche de juin ; ceci pour faire écho à la Fête des Mères, instituée par Vichy et confirmée par un décret de 1950.