วันพุธที่ 29 กรกฎาคม พ.ศ. 2552

Thaï (langue)
Le thaï ou le siamois (vieilli, nom local ภาษาไทย) est une langue du groupe tai de la famille des langues taïes-kadaïes. Il compte environ soixante millions de locuteurs.
Classification
Le thaï appartient au groupe
tai de la branche dite kam-tai de la famille des langues taïes-kadaïes.
Certains linguistes cherchent à rapprocher la famille tai-kadai de celle des
langues austronésiennes, en s'appuyant sur un fond de vocabulaire commun relatif à l'agriculture et l'élevage.
Écriture
Le thaï utilise un
alphasyllabaire particulier (alphabet thaï) dérivé de l'alphabet khmer, adapté pour pouvoir transcrire le système tonal de la langue :
il possède vingt consonnes, écrites avec quarante-quatre lettres, dont deux tombées en désuétude ;
il possède vingt-quatre voyelles, incluant des
diphtongues et triphtongues, notées avec treize lettres (six voyelles courtes, cinq voyelles longues et deux signes de diphtongues particuliers) ;
le système tonal est gouverné par le choix des consonnes, qui sont divisées en trois groupes ; quatre accents permettent de corriger ce système et d'intégrer les mots étrangers difficiles à transcrire.
Le thaï s'écrit de gauche à droite, il n'y a pas de ponctuation, plusieurs mots peuvent s'écrire collés. Les lettres ne sont pas liées. Il n'y a pas de majuscules. L'alphabet est décrit dans l'article
alphabet thaï.

วันพุธที่ 22 กรกฎาคม พ.ศ. 2552


Grippe A (H1N1) de 2009


La grippe A(H1N1) ou grippe A (H1N1)[1] (initialement appelée grippe porcine par l’Organisation mondiale de la santé[2]) est une maladie respiratoire aiguë contagieuse provoquée par l’un des quelques virus de la grippe A, l’Influenzavirus A sous-type H1N1, réapparue en 2009 sous une forme génétique nouvelle transmissible d’homme à homme. Cette grippe a également été nommée, par différentes institutions internationales, grippe nord-américaine[3], grippe mexicaine[4] ou grippe nouvelle[5] avant que l’OMS ne recommande le nom de grippe A(H1N1) le 30 avril 2009[6],[7].

Influenzavirus A sous-type H1N1
Ce nouveau
virus grippal, contenant des gènes de plusieurs virus connus d’origine porcine, aviaire et humaine[8], est un virus réassorti[9]. Aucun vaccin n’existe contre cette souche[10] et les scientifiques de l’OMS ignorent si les vaccins existants contre la grippe saisonnière peuvent conférer une protection. Les personnes présentant les symptômes de la grippe A(H1N1) sont traités actuellement avec du paracétamol[11] et pour les cas plus sévères avec des inhibiteurs de la neuraminidase des virus grippaux tels l’oseltamivir ou le zanamivir[12].
Un facteur important pour mesurer la dangerosité d’une maladie est sa létalité, c’est-à-dire la proportion de morts parmi les personnes touchées (taux de mortalité).
« D’après les données factuelles actuellement disponibles, dans l’énorme majorité des cas, les malades n’ont présenté que des symptômes bénins et leur guérison a été rapide et complète, souvent en l’absence de toute forme de traitement médical. Au niveau mondial, la mortalité est faible. Chacun de ces décès est tragique et nous devons nous préparer à ce qu’il y en ait d’autres. Néanmoins nous ne nous attendons pas à une augmentation soudaine et spectaculaire du nombre d’infections graves ou mortelles. » — Dr Margaret Chan, Directeur général de l’OMS (11 juin 2009),
[13]
La nature de la grippe n’est pas l’unique facteur de létalité. Le degré d’avancement en termes de sécurité sanitaire du pays est un facteur déterminant. Margaret Chan, directrice générale de l’OMS, précise : « L’expérience passée nous montre que la grippe peut provoquer une affection bénigne dans les pays riches mais une maladie plus sévère avec un taux de létalité plus élevé dans les pays en développement[14]. » Cette règle semble s’appliquer à la grippe A(H1N1).
Un journaliste du
Nouvel Observateur, M. de Pracontal, note que : « les patients nord-américains ou européens ont souffert de troubles modérés, ne mettant pas leur vie en péril. Et ils ont récupéré sans problème[15] », contrairement au Mexique. La menace que représente la maladie, particulièrement pour les pays moins riches, justifie du passage à la phase 5 du niveau d’alerte de risque de pandémie grippale.

วันจันทร์ที่ 13 กรกฎาคม พ.ศ. 2552

France


La France, ou la République française pour les usages officiels, est un pays, dont la métropole se situe en Europe de l'Ouest, et qui inclut des territoires situés à divers endroits du globe terrestre. La France est membre de l'Union européenne. Le territoire de la France est le plus vaste de cette Union, et aussi le plus vaste de l'Europe si l'on y inclut les territoires (départements, régions et collectivités) d'outre-mer.
De tous les grands États européens actuels, La France est le plus anciennement constitué. Sa capitale est
Paris, la ville la plus visitée au monde (45 millions de touristes annuels). Le pays, en incluant les territoires situés outre-mer, a une superficie de 675 417 km2 et une population de 65,1 millions d’habitants au 1er janvier 2009[3].
Le
français est la langue officielle de la République. Toutefois, soixante-quinze autres langues, distinctes de la langue officielle et incluant les langues issues de l'immigration, sont pratiquées sur le territoire national[9]. La France est le premier pays francophone du monde de par le nombre de locuteurs, et serait le deuxième de par la population totale, après la République démocratique du Congo.
La principale religion en France est le
catholicisme (51–64 %)[10], mais une part importante des catholiques baptisés se considèrent agnostiques et 32 % de la population est athée[11].
Son économie est de type capitaliste avec une intervention étatique non négligeable depuis la fin de la
Seconde Guerre mondiale. Néanmoins, depuis le milieu des années 1980, des réformes successives ont entraîné un désengagement progressif de l’État de plusieurs entreprises publiques. En 2008, la France est redevenue la cinquième[12] puissance économique mondiale, derrière les États-Unis, le Japon, la Chine, et l'Allemagne.
Membre du
Conseil de l'Europe, c’est l’un des pays fondateurs de l'Union européenne, de la zone euro et de l'espace Schengen. Elle est l'un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies et fait partie du Groupe des huit (G8), de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), de la Francophonie et de l'Union latine.
Militairement, la France possède l'une des principales forces armées d'Europe et est une
puissance nucléaire. Elle est membre de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), après s'être retirée en 1966 de l’organisation militaire intégrée, pour y revenir partiellement depuis 2002, puis totalement depuis 2009.
La France est la première puissance nucléaire d'Europe, et la troisième au niveau mondial derrière les
Etats-Unis et la Russie.
Au cours du «
Grand Siècle », la France a été façonnée par les arts et la philosophie. Berceau des « Lumières », elle a influencé les révolutions américaines, puis la Révolution française a insufflé l'élan et l'exemple démocratique dans le monde entier, développant des valeurs de liberté, d'égalité, de fraternité et, depuis 1905, de laïcité. Du fait des explorations de la Renaissance, des XVIIIe et XIXe siècles, la France a diffusé sa culture et sa langue à de nombreux peuples, au Canada, en Afrique, mais aussi dans quelques régions du Moyen-Orient, d'Asie et du Pacifique.

วันศุกร์ที่ 3 กรกฎาคม พ.ศ. 2552


Origine, dates et lieu


Dans les premiers temps du bouddhisme, la vassa semble semble n'avoir été observée que par les autres sectes d’ascètes errants, les jaïns en particulier, qui auraient fait grief aux bouddhistes de ne pas la respecter. Elle était considérée comme souhaitable pour ne pas causer de dégâts aux récoltes à une époque où on marchait souvent à travers champs, et pour épargner les insectes de l’herbe, particulièrement nombreux à cette période de l’année. Elle fut donc formellement imposée par le Bouddha aux moines et moniales pleinement ordonnés ; les règles la régissant se trouvent dans le Maha Vagga du Vinaya Pitaka (ch. 3 et 4).
Plutôt que d’une retraite, il s’agit d’un séjour fixe car les moines peuvent sortir et rencontrer les fidèles, mais doivent regagner chaque soir leur résidence. Dans certains cas particuliers spécifiés, ils ont le droit de s’absenter pour un délai qui doit rester inférieur à sept jours (sattahakaraniya). Les moines qui observent correctement la coutume de vassa peuvent bénéficier d’un allègement des règles monastiques durant les quatre mois suivants. Un moine qui n’aurait pas atteint sa résidence fixe à la pleine lune de juillet peut commencer sa retraite un mois plus tard à la pleine lune d’août et finir un mois après les autres, mais ne bénéficie pas de l’allègement des règles. La vassa, instaurée à l’origine à une période donnée pour des raisons climatiques géographiquement spécifiques, peut en fait avoir lieu à tout moment de l’année ; le Bouddha lui même avait assuré à des moines invités par le roi Bimbisara à prendre résidence dans son palais plus tôt que prévu, qu’il était possible d’en changer la période dans des circonstances particulières. Néanmoins, en pratique, cette retraite rythmant la vie sociale et cultuelle de l’ensemble de la communauté, laïcs aussi bien que moines, elle suit presque toujours les dates traditionnelles du calendrier astronomique indien.
Les moines prennent typiquement leurs quartiers dans un temple (
vihara), mais il est possible à de riches laïques de les inviter dans un local préparé spécialement pour eux, prenant en charge l’intégralité de leurs besoins. Aux premiers temps du bouddhisme, pour des raisons de sécurité, il fut décidé que les moniales devaient fixer leur résidence dans un district où se trouvaient aussi des moines ; cette règle reste en vigueur.