วันอาทิตย์ที่ 28 มิถุนายน พ.ศ. 2552

Théâtre d'ombres

Historique

Tout comme sa cousine la marionnette, le théâtre d'ombres a des origines très anciennes. La tradition fait de la Chine son lieu de naissance (la fameuse « ombre chinoise »), mais certains auteurs le situent plutôt en Inde. C'est de là qu'à la faveur des grandes migrations il aurait gagné le Proche Orient.
Utilisé d'abord à des fins religieuses (évoquer l'âme des morts) et d'exorcisme, il est rapidement devenu une forme particulièrement séduisante de spectacle populaire, mettant en scène aussi bien de grands poèmes épiques que des satires politiques ou grivoises, comme le célèbre Karagöz de
Turquie par exemple.

En France

A la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle, le théâtre d'ombres connut un grand succès au cabaret du Chat Noir avec des artistes comme Henri Rivière et Caran d'Ache. De véritables petits chefs d'œuvres furent donnés comme La Tentation de Saint-Antoine ou La Marche à l'Étoile d'Henri Rivière L'Épopée de Caran d'Ache sur des poèmes musicaux de Georges Fragerolle
Aujoud'hui plusieurs compagnies se sont spécialisées dans cet art. On peut citer notamment : Amoros et Augustin, La Loupiote, Le Théâtre des Ombres, Les Montreurs d'Ombres, La Luciole Dansante ou Le Théâtre du Petit Miroir. En Belgique nous avons le Clair de Lune Théâtre et la Compagnie de L'ombre.
La tradition du théâtre d'ombres est encore vivace en
Asie (Chine, Cambodge, Thaïlande, Malaisie, Java, Bali), le Karaghiosis en Grèce et en Turquie, et dans une plus faible mesure en Europe occidentale ou en Amérique du Nord au Québec grâce à des compagnies comme le Théâtre de la Pire Espèce à Montréal.
Doi Inthanon


Le Doi Inthanon (en thaï : ดอยอินทนนท์), est le plus haut sommet de Thaïlande, avec 2 565 mètres. Situé dans la province de Chiang Mai, au Nord du pays, c'est une destination touristique internationale, que la plupart des Thaïlandais visitent au moins une fois dans leur vie. L'ancien nom est « Doi Luang ». Le mot thaï luang veut dire “grand”.
Le climat y ressemble plus à celui de l’Europe nordique qu'à celui de la Thaïlande. Il fait frais et humide tout au long de l’année. Et en hiver il gèle sur le sommet.
Le Doi Inthanon est la source de nombreux cours d'eau faisant partie du
bassin versant de la Mae Ping (tributaire de la Chao Phraya). Les pins et les tecks sont très abondants dans les forêts de la montagne.

Une des cascades du Parc National
Le “Parc National de Doi Inthanon” (482 km²) est probablement l'écosystème ouvert au tourisme le mieux préservé de la Thaïlande. Son paysage, où rivières et animaux abondent, est exceptionnel, avec plusieurs chutes d’eau attrayantes, en particulier celle de la Mae Ya, l'une des plus belles de Thaïlande. On y trouve les roses sauvages qui ressemblent à celles des “Phu Kradueng”, la montagne au Nord-Est de la Thaïlande, mais qui y sont beaucoup plus grandes, notamment les « roses de mille-années ».

วันจันทร์ที่ 15 มิถุนายน พ.ศ. 2552


Mode de transmission


La plupart (40 %) des infections respiratoires bénignes sont dues à des rhinovirus, les autres étant dues à divers virus, notamment coronavirus, virus respiratoire syncytial, virus influenza (responsable de la grippe), virus para influenza.
Les virus responsables du rhume banal se transmettent entre les individus de deux façons :
par
aérosol, généré lors de la toux ou de l'éternuement ;
par contact avec la salive ou les sécrétions nasales contaminées.
Le virus inhalé contamine les
cellules du nasopharynx (l'espace situé entre le nez et la gorge) et se multiplie rapidement. Les points d'entrée principaux sont le nez, mais aussi les yeux (dans ce cas, la contamination du nasopharynx s'effectue par drainage du liquide via le canal lacrymonasal).

วันจันทร์ที่ 8 มิถุนายน พ.ศ. 2552

Le don

En 2008, l’EFS a recueilli environ 2,36 millions de dons de sang, 350 000 dons de plasma et 180 000 dons de plaquettes. Devant l'augmentation constante des besoins en produits sanguins, ces dons ne suffisent plus à couvrir les demandes. Après une longue période de diminution des besoins en produits sanguins labiles, la situation s’est inversée depuis 2001. Les besoins augmentent de manière constante, sur un rythme de 2 à 3 % par an, avec une accélération ces dernières années (+ 5 % en 2007).
Les raisons d'une augmentation Plusieurs facteurs expliquent ce revirement de situation observé depuis 2001 :
l’allongement de l’espérance de vie entraîne une augmentation du nombre de maladies nécessitant l’utilisation d’une thérapeutique transfusionnelle. Aujourd’hui, on transfuse de plus en plus à des âges avancés de la vie (2/3 des personnes transfusées ont plus de 60 ans). Cette tendance risque de s'accentuer encore à l'avenir compte tenu du vieillissement de la population ;
les progrès de la médecine permettent le traitement de patients par chimiothérapie lourde pour leucémie et/ou cancer à des âges de plus en plus avancés. Ces traitements nécessitent une grande quantité de produits sanguins ;
les professionnels de la santé reprennent confiance dans les produits sanguins puisque les risques liés aux transfusions ne cessent de diminuer (ils ont été divisés par deux en cinq ans). La transfusion est donc utilisée de façon plus systématique pour assurer aux personnes à risque un plus grand confort de vie.
Une stabilisation des dons
Parallèlement à cette augmentation de la demande, les prélèvements de sang, tout comme le nombre de donneurs, ont tendance à se stabiliser (autour de 1,6 don par an). L’approvisionnement des établissements de santé a néanmoins pu être maintenu grâce à une gestion rigoureuse des produits prélevés. Le taux de péremption des produits ou de non-utilisation est ainsi passé de 1,49 % en 2003 à 0,63 % fin 2006 : la gestion du processus de fabrication est donc totalement maîtrisée et optimisée.
Des stocks en diminution
Pendant les vacances, durant les épidémies de gastro-entérite ou de grippe, les donneurs sont en effet moins nombreux, ce qui entraîne une nette diminution des stocks puisque les besoins en produits sanguins sont, eux, constants. Auparavant épisodiques, ces périodes de tension sont devenues récurrentes. Aujourd'hui le risque de pénurie n’est plus théorique mais réel et constant.
Des objectifs accessibles
Pour assurer une parfaite autosuffisance, il faudrait être en permanence à 14 jours de stock. Rappelons que les globules rouges ne se conservent que 42 jours : d’où l’importance de donner régulièrement son sang. Pour répondre à l’augmentation de la demande de produits sanguins avec les mêmes exigences de qualité et de gestion, il faudrait ainsi recueillir 135 000 dons supplémentaires par an. Pour cela, il faut donc conquérir de nouveaux donneurs et également augmenter le nombre de dons par donneur.

Analogie hydraulique


Pour comprendre certaines propriétés du courant électrique, il est intéressant de le comparer à de l'eau s'écoulant dans un circuit de tuyaux. Le générateur peut alors être vu comme une pompe chargée de mettre en pression ce liquide dans les tuyaux.
La différence de potentiel, ou tension, ressemble alors à la différence de pression entre deux points du circuit d'eau. Elle est notée U, et exprimée en
volts (V).
L'intensité du courant électrique peut être rapprochée du débit d'eau dans le tuyau. Elle mesure le nombre de charges qui passent chaque seconde à un point du circuit ; elle est souvent notée I, et mesurée en
ampères (A).
La
résistance d'un circuit électrique serait alors analogue au diamètre des tuyaux. Plus les tuyaux sont petits, plus il faut de pression pour avoir le même débit ; de façon analogue, plus la résistance d'un circuit est élevée, plus il faut une différence de potentiel élevée pour avoir la même intensité. La résistance électrique mesure donc la faculté de freiner plus ou moins le passage du courant. Elle est notée R et, elle est exprimée en Ohms (Ω).
Il est possible de pousser cette analogie beaucoup plus loin
[2] mais il est important de garder à l'esprit qu'elle a ses limites et que certaines propriétés du courant électrique s'écartent sensiblement de ce modèle à base de fluide, de tuyaux, et de pompes.

วันเสาร์ที่ 6 มิถุนายน พ.ศ. 2552





La dissipation thermique
La chaleur est fabriquée par la bobine mobile selon la formule R*I². avec :
R : la résistance en courant continue de la bobine
I : l’intensité en ampère du courant traversant la bobine.
Cette chaleur est bloquée par la membrane et le spider pour la partie avant. À l’arrière son évacuation est freinée par la plaques de champ et le noyau central ou une culasse. Pour l’évacuer, il existe plusieurs solutions qui sont souvent utilisées conjointement..
Une membrane radiateur. La bobine mobile fixée à la membrane peut transmettre la chaleur à cette dernière si la résistance thermique entre ces dernières est faible. Ce système est utilisé sur les AE1 de la société Acoustic Energy. La membrane métallique agit comme un radiateur. Une AE1 admet 200 Watts efficaces pour un 90 mm. Les radiateurs additionnels. En ajoutant des radiateurs sur le pourtour de la culasse du haut-parleur, on évacue la chaleur captée par les plaques de champ et le noyau central. Chez Boston Acoustique, cette solution est surtout utilisée sur les tweeters.
En introduisant une tige métallique dans le noyau central reliée à un radiateur, la chaleur est conduite par cette passerelle thermique vers l’extérieur de l’enceinte. De plus elle permet de rigidifier le coffret en se comportant comme un tasseau .
Des puits d’aération. En perçant le noyau central ou la culasse on crée un passage d’air. La chaleur transmise au noyau central par la bobine est évacuée par ce puits. C’est le Vented Gap Cooling de JBL. Ce système offre un refroidissement limité à la partie de la bobine proche de la partie avant. JBL a inventé une solution qui ventile la bobine par trois petits puits dans la périphérie du noyau central. L’air atteint directement le cœur de la bobine, c’est le Super Vented Gap de JBL. La compression dynamique est maintenue à quelques dB. Un haut-parleur ayant une bobine de faible diamètre comme les EV subira une compression de l'ordre de 7 dB.
Une solution plus simple est de percer de part en part la plaque arrière et le noyau central ou la culasse. Le trou débouche sur la plaque de champ arrière. Plusieurs solutions d’évacuations sont possibles.
Le watercooling. En insérant un
ferrofluide dans l’entrefer, on diminue la résistance thermique par rapport à l’air et on transmet mieux la chaleur aux plaques de champ avant et au noyau central qui l’évacuent ensuite. C’est une solution mise en place chez Dynaudio et sur de nombreux tweeters comme chez Audax. Les particules font environ 10 nm et sont à base de Fe3O4 . Cette matière est aussi un frein aux déplacements de la bobine diminuant aussi le rendement global du moteur. La puissance admissible par contre fait un bond et la courbe d’impédance pour les tweeter est très amortie offrant par conséquent un filtrage à pente plus faible possible. Cette solution s’est généralisée chez de nombreux fabricants.
La ventilation latérale. En disposant des aimants circulaires non jointifs autour de la bobine, on facilite le passage de l’air vers l’extérieur, diminuant ainsi la température. Focal adopte le multi-aimants sur ses systèmes haut de gamme.
En installant un espace entre le saladier et le spider, pour assurer une circulation d'air, la bobine est refroidie sur sa partie avant comme sur la gamme stratos de Triangle.