วันอาทิตย์ที่ 27 ธันวาคม พ.ศ. 2552


Différence entre les calendriers

Bien que les Jours de l'an tombent rarement à la même date d'un calendrier à l'autre, on remarque une relative concordance entre ceux des pays tempérés. En effet, ce qui fut interprété comme la « disparition » de la végétation durant l'hiver et sa renaissance au printemps a alimenté le mythe très répandu de la renaissance cyclique de l'année. C'est ainsi qu'un grand nombre de Jours de l'an sont fêtés entre le solstice d'hiver et l'équinoxe de printemps.
Cependant, ceci n'est nullement universel, notamment dans les pays tropicaux, où le cycle des saisons est bien moins tangible.
On peut citer en exemple l'
Égypte antique, qui (bien qu'elle utilisait un calendrier civil solaire) fêtait la nouvelle année à l'arrivée annuelle de la crue du Nil. Cette crue étant due aux pluies ayant lieu loin en amont (dans les hauts plateaux), sa date était entièrement tributaire de phénomènes météorologiques. Cependant, elle intervenait généralement à la même période.
Différents calendriers avec la correspondance des dates de leur Nouvel An
[1] dans le calendrier grégorien

Célébration


Sa célébration à la date du 25 décembre, se situe dans le calendrier julien pour les Églises orthodoxes, et dans le grégorien pour l'église catholique et protestante ; le jour de la saint Emmanuel, a été fixée tardivement dans l'empire romain d'Occident, vers le milieu du IVe siècle. Avant de la placer à la date d'une célébration solaire liée au solstice d'hiver[1], plusieurs dates furent proposées : 18 novembre, 6 janvier... Le 25 décembre marquait depuis Aurélien (v.270) l'anniversaire du Sol Invictus et de la renaissance annuelle de Mithra[2]. Pour des raisons symboliques, et dans un souci de christianiser les anciennes fêtes païennes, cette date fut progressivement étendue à tout l'Occident latin. Les Églises orthodoxes, qui ont conservé le calendrier julien, célèbrent Noël le 25 décembre de ce calendrier, ce qui correspond au 6 janvier du calendrier grégorien. Seule l'Église apostolique arménienne a conservé la date précise du 6 janvier comme jour de la fête de Noël[3].
Constituant avec
Pâques une des grandes fêtes chrétiennes, Noël s'est progressivement chargé de traditions locales, mélanges d'innovations et de maintien de folklore ancien, au point de présenter l'aspect d'une fête profane populaire possédant de nombreuses variantes, dans le temps comme dans l'espace. L'association de la mémoire d'une naissance a facilité la place centrale prise par la famille dans le sens et le déroulement de cette fête. L'Église catholique romaine insiste par exemple sur cet aspect depuis l'instauration en 1893 de la fête de la Sainte Famille, le dimanche suivant le 25 décembre. Les cadeaux, sous forme d'étrennes, semblent être une réminiscence des cadeaux effectués lors des fêtes saturnales de décembre (strenae)[4].
Le don est présent dans de nombreuses traditions, comme celle de servir un repas au premier pauvre croisé au jour de Noël, ou dans l'exceptionnelle générosité des aumônes accordées aux mendiants à la sortie de l'office célébré durant la nuit de Noël. « La période de Noël, qui est très chargée cérémoniellement, possède une certaine intensité rituelle. Même si nous vivons fondamentalement dans une société marchande, il y a dans cet échange de cadeaux quelque chose qui est de l'ordre du don et qui est universel dans son principe: ils créent, maintiennent et consolident des liens ; ils constituent en quelque sorte une matrice du social
[5].

วันพฤหัสบดีที่ 3 ธันวาคม พ.ศ. 2552

Fête des Pères


Dans les pays catholiques, on a célébré les pères de famille dès le moyen-âge le 19 mars, jour de la Saint-Joseph, ce dernier étant le père putatif de Jésus. En revanche, il était beaucoup plus difficile de célébrer religieusement les mères, les fêtes dédiées à la celle de Jésus étant aussi des célébrations de la virginité. L'une des premières fêtes des pères non religieuses fut créée en 1912 aux États-Unis. En France, elle fut fixée par un décret de 1952 au troisième dimanche de juin ; ceci pour faire écho à la Fête des Mères, instituée par Vichy et confirmée par un décret de 1950.

วันเสาร์ที่ 14 พฤศจิกายน พ.ศ. 2552


Windows 7

Windows 7 aura été le fruit d’un processus de développement long et mouvementé.
Le projet Blackcomb a débuté avant la sortie de
Windows XP et avait vocation de devenir son successeur direct dès 2002. Cette nouvelle mouture devait constituer une version majeure, en rupture avec les précédentes versions issues de la famille Windows 95 ou Windows NT. Au moment de la sortie de Windows XP, la sortie de Blackcomb a été finalement repoussée à 2005, un nouveau projet baptisé Longhorn (le futur Windows Vista) devant prendre la relève de XP et assurer l’intérim dès 2003[4]. Ce nouveau projet devait d’ailleurs reprendre certaines innovations de Blackcomb telles que le système de fichier WinFS ou le Desktop Window Manager (que l’on connaît aujourd’hui avec Vista sous le nom d’Aero).
Mais la polémique grandissante quant à la sécurité des produits Microsoft (avec notamment la diffusion spectaculaire de virus, par exemple
Blaster en 2003, exploitant des failles de Windows XP) obligea Microsoft à modifier ses priorités.[réf. souhaitée] Microsoft dut tout d’abord se consacrer à l’amélioration de la sécurité de ses produits existants avec de nouveaux Service Pack pour Windows XP et Windows Server 2003. Ensuite, le développement de Longhorn (qui avait débuté dès la sortie de Windows XP sur la base de celui-ci) fut repris en 2004 à la base dans un souci accru de qualité du code et de sécurité, en mettant de côté certaines des innovations issues de Blackcomb telles que WinFS ou encore Next-generation secure computing base, jugées insuffisamment abouties pour une diffusion à grande échelle. C’est pourquoi beaucoup qualifient Windows Vista de version intermédiaire[5].
Malgré ces divers retards, le projet Blackcomb n’a pas été abandonné. En
janvier 2006, il fut renommé Vienna, avant d’être connu sous le nom de Windows 7 depuis janvier 2007.
La version du noyau de
Windows Vista étant la 6.0, on pourrait suggérer que le nom Windows 7 provienne de la prochaine version du noyau qu’il devrait intégrer. Cependant, Windows 7 utilise le noyau NT 6.1.

วันอาทิตย์ที่ 1 พฤศจิกายน พ.ศ. 2552


Loy Kratong


Loy Kratong (ou Loi Krathong, Thaï ลอยกระทง) est une fête célébrée chaque année dans toute la Thaïlande. Elle a lieu lors de la pleine lune du 12e mois du calendrier thaï lunaire traditionnel ; dans le calendrier occidental, ceci se produit généralement en novembre. Cette tradition a débuté à Sukhothai mais est à présent fêtée dans toute la Thaïlande, les festivités de Chiang Mai et d’Ayutthaya étant particulièrement célèbres. Dans le Nord du royaume, à Chiang Mai notamment, Loy Kratong est l’occasion d’un spectaculaire lâcher de lanternes emportées par des ballons cylindriques à air chaud (lanternes célestes). Loy Kratong est l’une des fêtes amusantes et joyeuses de la tradition thaïe.

Halloween


L’Halloween (en français au Québec, avec un déterminant) ou Halloween (sans article, forme utilisée dans les pays anglophones et en France) est une fête qui se déroule dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre. Elle est fêtée principalement en Irlande, au Canada, en Australie, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. La tradition la plus connue veut que les enfants se déguisent avec des costumes qui font peur ou qui font rire (fantômes, sorcières, monstres,vampires, etc.) et aillent sonner aux portes en demandant aux adultes, souvent eux-mêmes déguisés, des bonbons, des fruits ou de l'argent avec la formule : Trick or treat! (« Des bonbons ou un mauvais sort ! ») ou simplement « Halloween ! ». D'autres activités incluent des bals masqués, le visionnage de films d'horreur, la visite de maisons « hantées », etc.
L'Halloween est une fête folklorique anglo-saxonne
[1], à laquelle certains prêtent une origine celtique, basée sur la concomitance calendaire du 1er novembre, période de l'antique fête religieuse celtique de Samain[2]. Cette tradition a été transportée en Amérique du Nord au XIXe siècle par les Irlandais, les Écossais et autres immigrants.
Le principal symbole de l'Halloween est la
citrouille, remplacée quelquefois par un potiron, issu de la légende irlandaise de Jack-o'-lantern : on le découpe pour y dessiner, en creux, un visage, puis on place une bougie en son centre.

วันศุกร์ที่ 25 กันยายน พ.ศ. 2552

Histoire Stylo


À l'origine, les tablettes étaient gravées avec un roseau ou un burin. Le premier outil que l'on pourrait rapprocher du stylo est le calame constitué d'un roseau taillé dans lequel l'encre s'écoule le long d'une petite fente. Au Moyen Âge, la plume d'oie lui est progressivement substituée par les moines copistes. La plume d'oie (ou d'autres oiseaux, selon l'usage qui en est fait) devient l'instrument d'écriture le plus courant.
A la fin du
XIXe siècle, la plume d'oie est remplacée par la plume métallique. Avec son porte-plume, la plume métallique dont la plus connue en France est la plume Sergent-Major se diffuse dans les écoles. Le stylo a ensuite continué à évoluer techniquement : il voit le jour sous le nom original de porte plume portable en 1827, inventé par le roumain Petrache Poenaru, qui a déposé son brevet à Paris, ensuite le problème du réservoir d'encre est résolu partiellement par Waterman.
Après sa mise au point en
1938, la diffusion massive du stylo-bille dès 1952 a fortement démocratisé l'utilisation du stylo. Il est autorisé dans les écoles françaises dès 1965. Le gros Bic 4 couleurs est quant à lui mis au point en 1970.
Il existe de nombreux modèles de stylos adaptés à différents usages : écriture, mais aussi dessin, calligraphie, utilisant des formes de plumes spécifiques.

วันพุธที่ 23 กันยายน พ.ศ. 2552


Eau minérale


Les eaux minérales sont une catégorie d'eau qui se caractériserait par une présence importante de substances minérales aux effets particuliers et qui nécessitent des autorisations administratives spécifiques.
Remarque : les eaux minérales naturelles se caractérisent :
par la notion de gisement hydro minéral (nappe phréatique profonde et protégée par la nature des couches géologiques environnantes)
par une stabilité de leur composition minérale
par leur pureté originelle : elles ne peuvent pas contenir de composés d'origine anthropique (liées aux activités de l'homme)
elles ne subissent aucun traitement chimique de désinfection
La minéralité (teneur plus ou moins forte en minéraux) à elle seule ne définit pas une eau minérale.
Des eaux minérales présentent des minéralisations bien plus faibles que certaines eaux du robinet. Ce qui définirait une eau minérale, serait donc en fait son origine souterraine, sa stabilité de composition, et l'absence de tout traitement de désinfection.
Le plus souvent les eaux minérales font également l'objet d'une exploitation
thermale

วันพุธที่ 16 กันยายน พ.ศ. 2552


Anniversaires officiels et alternatifs


Certaines personnalités, en particulier les monarques tels que la reine Élisabeth II du Royaume-Uni ont des « anniversaires officiels » qui ne correspondent pas à leur date d'anniversaire réel, mais au cours desquels les célébrations ont lieu. Dans les cas particuliers, où la date d'anniversaire réelle d'un personnage historique n'est pas connue, par exemple celle de Jésus, il est commun qu'une date particulière lui soit attribuée.
Les enfants qui sont nés le 29 février, ce qui se produit seulement pendant les années
bissextiles, célèbrent souvent leur anniversaire une fois par an, le 28 février ou le 1er mars.
Dans les pays romans catholiques et orthodoxes de l'est comme la France ou la Grèce, chaque jour, c'est la fête d'un saint. C'est célébré plus ou moins de la même manière qu'un anniversaire, mais c'est tenu sur le nom officiel du saint après que la personne a été baptisée.
Dans certains pays, les noms de jours sont célébrés avec plus ou moins de festivités raffinées que les anniversaires

วันพฤหัสบดีที่ 3 กันยายน พ.ศ. 2552


Origine historique et légende


Sous la dynastie Tang (618-901), les Tujue, une minorité nationale attaquait fréquemment la frontière nord de la Chine.
L'Empereur
Li Shimin envoya le général Li Jing à la tête d'une armée. Après quelques mois de guerre, Li Jing réussit à repousser les Tujue et à rétablir la paix.
La campagne militaire terminée, le général rentra à
Chang'an, la capitale, où il arriva le 15 août du calendrier lunaire. L'Empereur le fit accueillir en grande pompe, comme un héros, au son des cloches et des tambours.
En l'honneur de cette victoire et de la paix retrouvée, un marchand de Chang'an créa pour l'Empereur un gâteau spécial de forme ronde et coloré. L'Empereur Li Shimin le distribua à ses ministres et leur dit qu'il fallait le manger pour inviter la lune. Voilà pourquoi il s'appelle "Gâteau de lune".
Depuis, la fête de la mi-automne 中秋节(zhongqiujie) est l'occasion pour les chinois de manger des gâteaux de lune 月饼 (yue bing)... et peut-être aussi de se souvenir de l'Empereur Li Shimin et du Général Li Jing.
La tradition historique populaire veut que le signal de la révolte des Chinois
Han contre la dynastie mongole Yuan qui allait amener l'avènement des Ming ait été donné par le biais de messages cachés à l'intérieur de ces pâtisseries. En effet, à la différence des Chinois, les Mongols ne mangeaient pas ces gâteaux. Le message caché dans les gâteaux était "Tuez les barbares le quinze du huitième mois" (八月十五殺韃子).

Fête des fantômes

Origines

À l'époque des Han, avait lieu au milieu du septième mois une simple cérémonie marquant une étape de l'année agricole par une offrande de récoltes aux ancêtres. C'est l'expansion du bouddhisme qui a popularisé la tradition indienne de Ullambana ( 盂蘭盆 yulanpen ). Le 15e jour du septième mois lunaire, les moines sortaient de leur retraite d'été. On leur demandait alors, contre une donation, de faire des offrandes et des prières au bénéfice des défunts de la famille et des âmes errantes. Ce rituel s'est également transmis au Japon où il a donné naissance à la fête de Obon. Son origine légendaire est relatée dans le Sūtra Ullambana, terme sanscrit dont le sens est « [sauver ceux qui sont] suspendus à l'envers », évocation de la position inconfortable de l'âme en peine semblable à une chauve-souris suspendue à un arbre. Le Bouddha aurait révélé ce moyen de salut par procuration à son second disciple Moggallana (目連 Mulian en chinois), qui voulait sauver sa mère retenue en enfer du fait de son avarice et de sa méchanceté.
Le
taoïsme s'est rapidement joint à cette activité avec ses cérémonies aux défunts appelées jiao 醮, et a imprimé sa marque sur la fête. Son nom officiel, zhongyuanjie (fête de du milieu [de l'année]), apparait pour la première fois dans des textes des Wei du Nord. Il provient de la liturgie des Maîtres célestes, qui divisait l'année en trois sections (yuán 元), « supérieure », « médiane » et « inférieure », gouvernées respectivement par le Gouverneur du Ciel, le Gouverneur de la Terre et le Gouverneur des Eaux. Au milieu de chacune avait lieu une fête. Le 15e jour du 7e mois, le Gouverneur de la Terre venait ici-bas amnistier les âmes fautives. Le Gouverneur du Ciel était accueilli au milieu du premier mois lors de la Fête des lanternes et celui des Eaux le 15 du 10e mois.

วันเสาร์ที่ 22 สิงหาคม พ.ศ. 2552


Vidéosurveillance

La vidéosurveillance est un système de caméras disposées dans un espace public ou privé pour le surveiller. Les images obtenues avec ce système, sont ensuite visionnées et/ou archivées. Selon ses partisans, un tel système permet de prévenir la criminalité (vols, agressions, etc.) et d'opérer un contrôle social (mouvements de foule, etc.). Ses détracteurs lui reprochent son inefficacité, son coût et de nuire à la vie privée.
Le
Royaume-Uni est le pays d'Europe le plus surveillé par caméras et Londres est réputée comme étant la ville où la vidéosurveillance (tant publique que privée) est la plus importante. À leur suite, des politiques de vidéosurveillance sont mises en place dans plusieurs villes européennes durant les années 1990.
Plusieurs rapports, notamment aux
États-Unis et au Royaume-Uni, esquissent un bilan critique de la vidéosurveillance. Les représentants de Scotland Yard à la Security Document World Conference (avril 2008) parlent ainsi de utter fiasco (échec complet)[

Chat

Le chat domestique (Felis silvestris catus) est un mammifère carnivore de la famille des félidés. Il est l’un des principaux animaux de compagnie et compte aujourd’hui une cinquantaine de races différentes reconnues par les instances de certification.
Essentiellement
territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements et les miaulements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones.
Selon les résultats de travaux menés en
2006 et 2007[1], le chat domestique est une sous-espèce du Chat sauvage (Felis silvestris) dont il a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant aux débuts de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.
Tout d’abord
vénéré par les Égyptiens, il fut diabolisé en Europe au Moyen Âge et ne retrouva ses lettres de noblesse qu’au XVIIIe siècle. En Asie, le chat reste synonyme de chance.
Ce félin a laissé son empreinte dans la culture populaire et artistique, tant au travers d’
expressions populaires que de représentations diverses au sein de la littérature, de la peinture ou encore de la musique.

วันพุธที่ 12 สิงหาคม พ.ศ. 2552


Le dispositif de lactation


La structure interne de base du sein, constituée de 15 à 25 canaux galactophores (ou lactifères, du latin lactifer « qui produit le lait » ) débouchant à la surface du mamelon par des pores indépendants, est présente à l’état rudimentaire dans les deux sexes, de l’âge embryonnaire à l’âge adulte.
Chez la femme pubère, la glande mammaire se développe sous l’influence
hormonale : stéroïdes ovariens, prolactine, hormone de croissance, glyco-corticoïdes, etc. Les œstrogènes développent les canaux galactophores et la progestérone développe les bourgeons glandulaires, les futures cellules productrices, les acini.
Chez la femme enceinte, les œstrogènes induisent un allongement des canaux galactophores, la progestérone, la prolactine et l'
hormone lactogène placentaire la multiplication et le développement des acini. La progestérone inhibe la prolactine, empêchant la sécrétion du lait. Mais les hormones produites pendant la grossesse dépendent aussi du placenta.
En fin de grossesse, les rameaux galactophores sont largement garnis d’acini (un acinus, des acini), au total entre 6 000 et 200 000 unités microscopiques, disposées par grappes de 10 à 100 et constituant ainsi des lobules ou unités ducto-lobulaires de 0,1 à 1 mm de diamètre chacun. De 20 à 40 de ces lobules sont regroupés en rameaux autour d’un des canaux galactophores, formant ainsi un lobe. Il y a autant de lobes que de canaux galactophores (entre 15 et 25), chacun débouchant séparément dans le mamelon.
À l'accouchement, la chute du taux sanguin d'œstrogènes et de progestérones s’accompagne d’une libération massive de prolactine pour la fabrication de lait dans les acini. Aussi longtemps que la mère allaite, les acini continuent à se développer. Après le sevrage, les acini disparaissent et les canaux galactophores s'atrophient.
Les rameaux se regarnissent à nouveau d’acini au cours de la grossesse suivante
.

วันพุธที่ 5 สิงหาคม พ.ศ. 2552


Correspondance littéraire


La correspondance peut aussi devenir le support d'une œuvre épistolaire, c'est-à-dire un échange régulier de courrier dont le contenu a une valeur littéraire avérée (si les lettres sont fictives, on parlera de roman épistolaire). Cet aspect de la littérature s'est particulièrement affirmé à partir du XXe siècle, en concomitance avec le développement de la sociologie de l'art.
Toutefois, certaines correspondances antérieures à cette période ont également connu une reconnaissance en leur temps, comme celles d'
Érasme ou de René Descartes.

วันเสาร์ที่ 1 สิงหาคม พ.ศ. 2552


Charles Darwin


Charles Robert Darwin (12 février 1809 - 19 avril 1882) est un naturaliste anglais dont les travaux et les théories sur l'évolution des espèces vivantes ont profondément révolutionné la biologie. Après avoir acquis la célébrité parmi les scientifiques pour son travail sur le terrain et ses recherches en géologie, il a apporté l'hypothèse que toutes les espèces vivantes ont évolué au cours du temps à partir d'un ancêtre commun ou d'un petit nombre d'ancêtres communs, grâce au processus de sélection naturelle. Il a vu de son vivant la théorie de l'évolution acceptée par la communauté scientifique et le grand public, alors que sa théorie sur la sélection naturelle a dû attendre les années 1930 pour être généralement considérée comme l'explication essentielle du processus d'évolution. Au XXIe siècle, elle constitue la base de la théorie moderne de l'évolution. Sous une forme modifiée, la découverte scientifique de Darwin reste le fondement de la biologie, car elle explique de façon logique et unifiée la diversité de la vie[1].
L'intérêt de Darwin pour l'histoire naturelle lui vint alors qu'il avait commencé d'étudier la médecine à l'
université d'Édimbourg, puis la théologie à Cambridge[2]. Son voyage de cinq ans à bord du Beagle l'établit dans un premier temps comme un géologue dont les observations et les théories soutenaient les théories actualistes de Charles Lyell, et la publication de son journal de voyage le rendit célèbre comme auteur populaire. Intrigué par la distribution géographique de la faune sauvage et des fossiles qu'il avait recueillis au cours de son voyage, il étudia la transformation des espèces et en conçut sa théorie sur la sélection naturelle en 1838. Ayant constaté que d'autres avaient été attaqués comme hérétiques pour des idées analogues, il ne se confia qu'à ses amis les plus intimes et continua à développer ses recherches pour imaginer et prévenir les objections[3]. En 1858, Alfred Russel Wallace lui fit parvenir un essai qui décrivait une théorie semblable, ce qui les amena à faire connaître leurs théories dans une présentation commune[4].
Son livre de 1859,
L'origine des espèces, fit de l'évolution à partir d'une ascendance commune l'explication scientifique dominante de la diversification dans la nature. Il examina l'évolution humaine et la sélection sexuelle dans La filiation de l'homme et la sélection liée au sexe, suivi par L'expression des émotions chez l'homme et les animaux. Ses recherches sur les plantes furent publiées dans une série de livres et, dans son dernier ouvrage[5], il étudiait les lombrics et leur action sur le sol[6].
En reconnaissance de l'importance de son oeuvre, il fut enterré dans l'
abbaye de Westminster, près de John Herschel et d'Isaac

วันพุธที่ 29 กรกฎาคม พ.ศ. 2552

Thaï (langue)
Le thaï ou le siamois (vieilli, nom local ภาษาไทย) est une langue du groupe tai de la famille des langues taïes-kadaïes. Il compte environ soixante millions de locuteurs.
Classification
Le thaï appartient au groupe
tai de la branche dite kam-tai de la famille des langues taïes-kadaïes.
Certains linguistes cherchent à rapprocher la famille tai-kadai de celle des
langues austronésiennes, en s'appuyant sur un fond de vocabulaire commun relatif à l'agriculture et l'élevage.
Écriture
Le thaï utilise un
alphasyllabaire particulier (alphabet thaï) dérivé de l'alphabet khmer, adapté pour pouvoir transcrire le système tonal de la langue :
il possède vingt consonnes, écrites avec quarante-quatre lettres, dont deux tombées en désuétude ;
il possède vingt-quatre voyelles, incluant des
diphtongues et triphtongues, notées avec treize lettres (six voyelles courtes, cinq voyelles longues et deux signes de diphtongues particuliers) ;
le système tonal est gouverné par le choix des consonnes, qui sont divisées en trois groupes ; quatre accents permettent de corriger ce système et d'intégrer les mots étrangers difficiles à transcrire.
Le thaï s'écrit de gauche à droite, il n'y a pas de ponctuation, plusieurs mots peuvent s'écrire collés. Les lettres ne sont pas liées. Il n'y a pas de majuscules. L'alphabet est décrit dans l'article
alphabet thaï.

วันพุธที่ 22 กรกฎาคม พ.ศ. 2552


Grippe A (H1N1) de 2009


La grippe A(H1N1) ou grippe A (H1N1)[1] (initialement appelée grippe porcine par l’Organisation mondiale de la santé[2]) est une maladie respiratoire aiguë contagieuse provoquée par l’un des quelques virus de la grippe A, l’Influenzavirus A sous-type H1N1, réapparue en 2009 sous une forme génétique nouvelle transmissible d’homme à homme. Cette grippe a également été nommée, par différentes institutions internationales, grippe nord-américaine[3], grippe mexicaine[4] ou grippe nouvelle[5] avant que l’OMS ne recommande le nom de grippe A(H1N1) le 30 avril 2009[6],[7].

Influenzavirus A sous-type H1N1
Ce nouveau
virus grippal, contenant des gènes de plusieurs virus connus d’origine porcine, aviaire et humaine[8], est un virus réassorti[9]. Aucun vaccin n’existe contre cette souche[10] et les scientifiques de l’OMS ignorent si les vaccins existants contre la grippe saisonnière peuvent conférer une protection. Les personnes présentant les symptômes de la grippe A(H1N1) sont traités actuellement avec du paracétamol[11] et pour les cas plus sévères avec des inhibiteurs de la neuraminidase des virus grippaux tels l’oseltamivir ou le zanamivir[12].
Un facteur important pour mesurer la dangerosité d’une maladie est sa létalité, c’est-à-dire la proportion de morts parmi les personnes touchées (taux de mortalité).
« D’après les données factuelles actuellement disponibles, dans l’énorme majorité des cas, les malades n’ont présenté que des symptômes bénins et leur guérison a été rapide et complète, souvent en l’absence de toute forme de traitement médical. Au niveau mondial, la mortalité est faible. Chacun de ces décès est tragique et nous devons nous préparer à ce qu’il y en ait d’autres. Néanmoins nous ne nous attendons pas à une augmentation soudaine et spectaculaire du nombre d’infections graves ou mortelles. » — Dr Margaret Chan, Directeur général de l’OMS (11 juin 2009),
[13]
La nature de la grippe n’est pas l’unique facteur de létalité. Le degré d’avancement en termes de sécurité sanitaire du pays est un facteur déterminant. Margaret Chan, directrice générale de l’OMS, précise : « L’expérience passée nous montre que la grippe peut provoquer une affection bénigne dans les pays riches mais une maladie plus sévère avec un taux de létalité plus élevé dans les pays en développement[14]. » Cette règle semble s’appliquer à la grippe A(H1N1).
Un journaliste du
Nouvel Observateur, M. de Pracontal, note que : « les patients nord-américains ou européens ont souffert de troubles modérés, ne mettant pas leur vie en péril. Et ils ont récupéré sans problème[15] », contrairement au Mexique. La menace que représente la maladie, particulièrement pour les pays moins riches, justifie du passage à la phase 5 du niveau d’alerte de risque de pandémie grippale.

วันจันทร์ที่ 13 กรกฎาคม พ.ศ. 2552

France


La France, ou la République française pour les usages officiels, est un pays, dont la métropole se situe en Europe de l'Ouest, et qui inclut des territoires situés à divers endroits du globe terrestre. La France est membre de l'Union européenne. Le territoire de la France est le plus vaste de cette Union, et aussi le plus vaste de l'Europe si l'on y inclut les territoires (départements, régions et collectivités) d'outre-mer.
De tous les grands États européens actuels, La France est le plus anciennement constitué. Sa capitale est
Paris, la ville la plus visitée au monde (45 millions de touristes annuels). Le pays, en incluant les territoires situés outre-mer, a une superficie de 675 417 km2 et une population de 65,1 millions d’habitants au 1er janvier 2009[3].
Le
français est la langue officielle de la République. Toutefois, soixante-quinze autres langues, distinctes de la langue officielle et incluant les langues issues de l'immigration, sont pratiquées sur le territoire national[9]. La France est le premier pays francophone du monde de par le nombre de locuteurs, et serait le deuxième de par la population totale, après la République démocratique du Congo.
La principale religion en France est le
catholicisme (51–64 %)[10], mais une part importante des catholiques baptisés se considèrent agnostiques et 32 % de la population est athée[11].
Son économie est de type capitaliste avec une intervention étatique non négligeable depuis la fin de la
Seconde Guerre mondiale. Néanmoins, depuis le milieu des années 1980, des réformes successives ont entraîné un désengagement progressif de l’État de plusieurs entreprises publiques. En 2008, la France est redevenue la cinquième[12] puissance économique mondiale, derrière les États-Unis, le Japon, la Chine, et l'Allemagne.
Membre du
Conseil de l'Europe, c’est l’un des pays fondateurs de l'Union européenne, de la zone euro et de l'espace Schengen. Elle est l'un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies et fait partie du Groupe des huit (G8), de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), de la Francophonie et de l'Union latine.
Militairement, la France possède l'une des principales forces armées d'Europe et est une
puissance nucléaire. Elle est membre de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), après s'être retirée en 1966 de l’organisation militaire intégrée, pour y revenir partiellement depuis 2002, puis totalement depuis 2009.
La France est la première puissance nucléaire d'Europe, et la troisième au niveau mondial derrière les
Etats-Unis et la Russie.
Au cours du «
Grand Siècle », la France a été façonnée par les arts et la philosophie. Berceau des « Lumières », elle a influencé les révolutions américaines, puis la Révolution française a insufflé l'élan et l'exemple démocratique dans le monde entier, développant des valeurs de liberté, d'égalité, de fraternité et, depuis 1905, de laïcité. Du fait des explorations de la Renaissance, des XVIIIe et XIXe siècles, la France a diffusé sa culture et sa langue à de nombreux peuples, au Canada, en Afrique, mais aussi dans quelques régions du Moyen-Orient, d'Asie et du Pacifique.

วันศุกร์ที่ 3 กรกฎาคม พ.ศ. 2552


Origine, dates et lieu


Dans les premiers temps du bouddhisme, la vassa semble semble n'avoir été observée que par les autres sectes d’ascètes errants, les jaïns en particulier, qui auraient fait grief aux bouddhistes de ne pas la respecter. Elle était considérée comme souhaitable pour ne pas causer de dégâts aux récoltes à une époque où on marchait souvent à travers champs, et pour épargner les insectes de l’herbe, particulièrement nombreux à cette période de l’année. Elle fut donc formellement imposée par le Bouddha aux moines et moniales pleinement ordonnés ; les règles la régissant se trouvent dans le Maha Vagga du Vinaya Pitaka (ch. 3 et 4).
Plutôt que d’une retraite, il s’agit d’un séjour fixe car les moines peuvent sortir et rencontrer les fidèles, mais doivent regagner chaque soir leur résidence. Dans certains cas particuliers spécifiés, ils ont le droit de s’absenter pour un délai qui doit rester inférieur à sept jours (sattahakaraniya). Les moines qui observent correctement la coutume de vassa peuvent bénéficier d’un allègement des règles monastiques durant les quatre mois suivants. Un moine qui n’aurait pas atteint sa résidence fixe à la pleine lune de juillet peut commencer sa retraite un mois plus tard à la pleine lune d’août et finir un mois après les autres, mais ne bénéficie pas de l’allègement des règles. La vassa, instaurée à l’origine à une période donnée pour des raisons climatiques géographiquement spécifiques, peut en fait avoir lieu à tout moment de l’année ; le Bouddha lui même avait assuré à des moines invités par le roi Bimbisara à prendre résidence dans son palais plus tôt que prévu, qu’il était possible d’en changer la période dans des circonstances particulières. Néanmoins, en pratique, cette retraite rythmant la vie sociale et cultuelle de l’ensemble de la communauté, laïcs aussi bien que moines, elle suit presque toujours les dates traditionnelles du calendrier astronomique indien.
Les moines prennent typiquement leurs quartiers dans un temple (
vihara), mais il est possible à de riches laïques de les inviter dans un local préparé spécialement pour eux, prenant en charge l’intégralité de leurs besoins. Aux premiers temps du bouddhisme, pour des raisons de sécurité, il fut décidé que les moniales devaient fixer leur résidence dans un district où se trouvaient aussi des moines ; cette règle reste en vigueur.